des belges ou des suisse se forcer à dire quatre-vingt-dix en France
Je dis nonante. J’ai une fois dû travailler avec un collègue français, on parlait d’adresse IP
- Cent-nonante-deux point cent soixante-huit
- Attends quoi? Tu peux reprendre, parce que là j’ai pas du tout compris…
On parle d’un gars qui était quand même ingénieur (pour ce que ça vaut), et pourtant son esprit n’arrivait pas à comprendre que nonante c’est effectivement neuf-zéro.
Assez étonnamment, je n’ai pas l’impression que si un Américain et un anglais parlent de “pants”, ils vont autant galérer à se rendre compte que l’un parle de pantalon et l’autre de sous-vêtements…
Je suis en train de prendre l’habitude mais c’est vrai que parfois quand on te dicte une liste de chiffre et qu’il y a un nonante qui se glisse ça prend un micro temps de reflexion et je comprend qu’on puisse perdre le fil et demander de répeter.
Oui oui, je comprends (j’ai l’inverse quand j’entends quatre-vingt-dix), mais lui c’était un peu abusé je trouve ha ha
Pareil. J’ai beaucoup moins de difficulté avec septembre et aucun problème avec octante ou huitante mais étrangement je dois prendre le temps de faire la conversion avec nonante.
septembre
Vous avez aussi des mois différents, vous l’appelez août-trente? 😄
XD Je blâmerai bien le correcteur orthographique mais j’étais sur PC.
Je le laisse tel quel. La faute est trop belle.J’ai décidé que je dirai nonante désormais parce que c’est bien plus logique mais le nom des mois mériterait une petite maj aussi, que le 9ème mois s’appelle septembre ça va pas du tout.
Ça en vrai ça va être compliqué ha ha, tu déplaces tout de deux et tu mets janvier et février en derniers mois de l’année ?
Non, moi président je supprime février et avril parce qu’ils sont nuls :P
Il y a beaucoup de différences entre l’anglais britannique et l’américain, je serais pas aussi catégorique là dessus!
Il y a effectivement des cas où le sens du mot est assez difficile à deviner, mais quand ça tombe sous le sens, c’est normalement assez clair.
C’est comme les versions québecoise de “clavarder” pour chatter, le sens est évident